La licorne symbolise avec sa corne unique au milieu du front la flèche spirituelle, le rayon solaire et l’épée de Dieu, la pénétration du divin dans la créature. Elle incarne au Moyen-Age l’animal sacrée de la Vierge Marie. Une des représentations les plus célèbres est celle de « La dame à la licorne » du musée des Thermes de Cluny. Elle manifeste également le sceau de la justice divine sur les revers de la vie. Pourquoi la licorne ? A des moments charnières de mon parcours, les synchronicités ont placé sur ma route des licornes de toute sorte… médaillon doré trouvé dans une jardinières, rêves de licornes, objets…autant de signes placés sur ma route comme un clin d’œil céleste que mon cheminement était en bonne voie. La licorne est toujours apparue tel un auspice favorable venant conforter mes choix de vie. C’est la raison pour laquelle j’ai choisi de l’associer à mes productions littéraires et musicales.


Ecrire est un des piliers essentiels de sa vie et de son équilibre. Elle signe sa troisième parution il y a quelques jours avec le conte « De la chrysalide à l’incandescence » sorti en auto édition chez bookedition.com, après un recueil de poésie « sur le fil » et un ouvrage initiatique « TD4 et les codes cryptés ».
Son parcours professionnel est jalonné entre décoration, design et paysagisme, à l’Unesco ou dans les palaces parisiens. Le dénominateur commun de toutes ces années est la beauté sous toutes ses formes, révélant un besoin vital de pureté pour survivre dans notre monde parfois cruel. Puis, comme on tourne une page, l’auteure fait un virage à 180° entamant une formation de jardinier pendant une année…Là, elle fait ses premiers pas dans l’écrin de verdure du parc d’Albert Kahn pour ensuite s’atteler aux hôtels de renom de Paris : tailles topiaires, terrasses, floraisons nichées dans des coins reculés presque cachés ont été son quotidien pendant près de six années. Enfin, ces cinq dernières années, elle est recrutée dans une société internationale de diagnostic médical travaillant en collaboration avec les chercheurs d’Oxford, principalement sur la tuberculose latente.